Le début de la fin de « l’époque Ste-Brigitte » (suite)
Je me suis presque mise à croire en Dieu quand Micheline Godbout est venue à moi d’elle-même pour me proposer son aide. Trois soirs par semaine, Micheline se déplaçait pour aller nourrir mon cheval, sans aucune rémunération (ma pension me coûtait déjà 400$), par compassion pure et pour l’amour des chevaux. Je peux affirmer hors de tout doute que Micheline a aussi eu un impact majeur dans la tournure des événements. À l’époque, les événements concernant Flagler se bousculaient déjà à ma porte; peut-être qu’avec le temps, j’aurais trouvé trop lourde cette responsabilité à assumer seule…